Début mai, la commission Environnement du Parlement wallon s’est penchée sur une proposition de résolution cosignée par Christine Defraigne avant de l’adopter à l’unanimité. Son thème ? L’interdiction des perturbateurs endocriniens. Un texte qui s’inscrit dans le prolongement direct du rapport d’information approuvé au Sénat deux mois plus tôt et dans lequel la cheffe de groupe Anne Barzin s’était fortement investie.

« Les scientifiques que nous avons auditionnés en commission ont été unanimes, avait notamment expliqué cette dernière lors de la présentation du rapport en séance plénière du Sénat. Il s’agit véritablement d’un enjeu de société important. Si l’on ne s’en préoccupe pas aujourd’hui, les conséquences et répercussions sur la santé publique seront néfastes… Surtout en ce qui concerne les populations les plus vulnérables que sont les femmes enceintes, les enfants de 0 à 3 ans et les adolescents. »